et
A avait écrit :
Ceci est mon testament.
Je soussignée, Catherine Voisin épouse Parc née le 2 décembre 1960 à redon, domiciliée 8 villa de bourg l'évesque à Rennes
déclare révoquer toutes dispositions testamentaires antérieures et établir mes dispositons de dernières volontés dans les termes suivants :
Dans le cas où je viendrais à décéder avant la majorité ou l'émancipation des mes enfants mineurs, à savoir :
Arthur Houplain né le 18 décembre 1993 à Rennes
Emile Houplain né le 9 décembre 1995 à Rennes,
je souhaiterais que mon mari Gildas Parc, né le 27 mai 1961 à Lorient, exerce un droit de regard sur l'éducation de mes deux fils et que le système de garde alternée existant à ce jour et ce, depuis septembre 1998 puisse être préservé.
Fait et écrit en entier de ma main, librement, avec la pleine jouissance de mes facultés intellectuelles et signé par moi.
Rennes, le 22 octobre 2008
A
nous étions encore, alors, tout gorgés d'espérances...
éthique, morale et droit... prenez une copie double, z'avez quatre heures...
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J'espère que tu n'es pas morte et que tu te portes à merveille
RépondreSupprimerje me souviens de tes 30 ans avec ravissement
que de beaux souvenirs et à Paris aussi
euh... cher(e) anonyme, je ne sais d'évidence pas qui vous êtes... mais Catherine, mon Amour majuscule, est morte, en effet, emportée par le terrible Krabe, un triste jour de novembre 2009... si vous vouliez me contacter, je m'appelle Gildas Parc et mon numéro est le 06 88 94 91 16...
RépondreSupprimerJe suis désolé(e)
RépondreSupprimereffondré(e)
j'ai pensé à une de ses blagues
elle en était capable
je m'en excuse auprès de vous tous
elle restera présente et formidable
je n'ai jamais revu Catherine depuis 1991 mais
I Will always cherist the moments we spent together
the memories Will last forever
Rennes, le 4 août 2010
RépondreSupprimerArthur, Emile, « mes » p’tits loups,
Comme Marc vous l’a certainement expliqué en rentrant de chez le notaire (à moins que vous ne l’ayez accompagné car, en fait, cela vous concernait vous), Catherine – votre maman, ma femme – vous a légué (laissé de l’argent), par le biais de notre prévoyance du CLPS, une somme qui se monte à 57 000 euros, soit 28 500 euros pour chacun d’entre vous. Cet argent vous appartient, il est le vôtre.
Catherine souhaitait ainsi préserver votre autonomie, que vous ne soyez pas dépendants (elle haïssait toute dépendance, financière, affective…) ; vous savez combien votre maman pensait que l’autonomie se gagne par la culture, l’éducation, les diplômes, le travail (notre seul argent à Catherine et moi était le fruit de notre travail)… en parallèle, vous savez combien lui importait l’ouverture aux autres, l’ouverture au monde, aux différences.
Une fois cette autonomie acquise, vous pourrez librement bâtir la belle interdépendance choisie… être heureux avec vous-même pour l’être avec les autres, vos choisi(e)s à vous, vos importants…