mardi 1 décembre 2009

3 commentaires:

  1. catherine , c'est si peu de fois que nous nous sommes vue s mais tout de suite nous nous sommes rencontées au vrai sens du terme et ce n'est pas de la pluie et de beau temsp que nous avons parlé , bien sur notre amour pour Gildas était pour beaucoup et tu étais avide de savoir mes relations avec mes neveux les plus jeunes les ainés, nous avons parlé mais j'ai encore tant de choses à te dire , je reviendrai , te retrouver ici......

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  2. "Monde de merde"... les connaisseurs reconaitront !
    Quel journée. Tu aurais adoré. Moi j'adore. je découvre Pierre et Annie dont j'ai beaucoupe entendu parlé par toi et par Yann...
    Pfff. je trouve plus mes mots. Un clavier entre nous m'inibe (là je suis pas sûr de l'orthographe et tu n'es pas là pour me corriger!).
    Bref, une fois de plus tu me manque. Tellement de choses à partager avec toi. Que puis je faire. Ton nom reviens à tous les moments. Tu manque. A tous le monde. San pathos. Mais tu manque.
    On t'aime... Nous t'aimons... tous ceux qui t'avons connu.

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  3. Un com. de plus.

    Je ne sais pas si j'ai raison. Mais seul toi peut m'entendre. Je veux te parler d'amour. Pas du mien. Tu le connais. Celui de tes enfants. Pas pour toi. Tu le connais. Masi celui de tes enfants entre eux.

    Je ne crois pas que grand monde puisse le comprendre. Cette solidarité. Cette force qui emmane de leur relation.

    Le plus vieux et le plus jeune. Chacun protégeant l'autre. De quoi ? Je ne sais pas ? Mais se protégeant. De cet environnement ? De ce monde qui les entoure ?En tout cas, une force les habite... Une grande force. La tienne.

    A mour... A mité. be A uté, cet force c'est la tienne...

    Elle nous habite.

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